• La mer ? lieu de réinsertion ?

    La mer, Un bateau,
    deux pères jésuites et un groupe de drogués.
    Une grande aventure à bord du "Bel Espor"; Un document humain d'une grand richesse, sur une expérience hors du commun.
    (Note de l'auteur)

    Mon commentaire :
    Lorsque la première édition de ce chef d'oeuvre est sorti, j'étais ado et apprenti. c'était dans les annéees 70. Je militais à la Joc (Jeunesse Ouvrière Chretienne)
    J'avais un copain qui s'appelait Marc et qui était avec moi à la JOC
    Il était passionné de voile et il la pratiquait.
    C'est Marc qui me parla de ce prêtre, le Père Jaouen qui avait acheté un navire et embarquait des drogués.
    Marc avait la chance de naviguer sur ce bateau de temps en temps.
    C'est suite à cela que j'ai acheté le livre et j'ai été en admiration de ce prêtre.
    La vie à bord ou il n'y a pas d'autres issues que de travailler ensemble pour faire avancer le navire......
    En pleine mer la solidarité est de circonstance......
    Ce livre, je crois que c'est ma première lecture maritime.
    Et avec du recul, je pense que ce livre a contribué à ma carrière professionnelle.
    Ce n'est certainement pas un hasard si aujourd'hui je suis.......Educateur Technique Spécialisé.
    Dans les années 1980 j'étais représentant de la paroisse de Caucriauville du Havre au Conseil de prévention de la délinquance. Je me suis rendu à plusieurs conférence du Docteur Courtet.
    Et puis en 1987 lorsque j'ai abordé ma reconversion professionnelle, j'ai failli travailler en région parissienne avec des détenus sortant de prisons et je souhaitais travailler aux Loges au centre de réinsertion pour ......toxicomanes. Centre aujourd'hui fermé.

    alors, attention ! il y a des livres qui peuvent transformer votre vie !


    Le Livre :
    Le Bel Espoir
    Trois Voyages avec les drogués
    Père A.Maucorps
    Editions France Loisirs (réédition du premier Editions Pen Duick)
    284 pages
    3ème trimestre 1979


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  • couteaucouteau

    couteaucouteau

    Couteau de  "Piqueur"                                           Couteau de "trancheur"

    Il y a maintenant quelques années que je me suis procuré cette affiche et ces couteaux au Musée des Terre-Neuvas de Fécamp.
    Ces couteaux proviennent d'un vieux stock de la Coutellerie A.Fourré-Triquet dans la Manche.
    Cette coutellerie était l'une des principale à fournir les équipages.

    Cet outil, appelé "couteau piqueur" est utilisé pour ébreguer les morues pêchées, c'est à dire en les piquant par la tête avec le "piquois".
    D´abord, l'ebreuyeur étripe le poisson et l'éventre d'un seul coup de son couteau, de bas en haut en vidant les intestins, pour ensuite le jeter dans le parc à poisson. Lorsque le poisson arrive dans le parc, avec le piquois ou la fourche (le gavelot à deux dents), on pique l'œil du poisson et on balance ensuite la morue dans un autre parc pour le travail des piqueurs. La tête de la morue est appliquée sur un pic, la morue est piquée dans les deux yeux, on soulage la morue, un coup de couteau dans la gorge et en descendant, les tripailles sont vidées. Une rigole en zinc emmène l'eau et les tripailles, tandis que les foies sont récupérées.
    Le parc des décolleurs : le décolleur utilise une planche "la guillotine". Il attrape la morue tombée sur la planche coupante, et la décolle, en lui coupant la tête. La tête est jetée à la mer. Ensuite la morue est balancée sur un étalage (planche entre des tasseaux pour caler, maintenir la morue), où le trancheur en deux coups de couteau, enlève l'arête centrale ; celle-ci trempe dans une baille d'eau. La dernière opération sera le travail du saleur.
    Il y avait donc deux piqueurs pour vider la morue, un décolleur, pour lui couper la tête et le trancheur, enfin le novice pour laver la morue et l'affaler dans la cale.
    Un quintal de morue fraîches correspondait à un volume de 55 kg.
    Témoignage de Michel Grimaud.
    Source :
    http://patrimoine.region-bretagne.fr

    Egalement , vous trouverez des témoignages, sur l'utilisation de ces outils, dans le livre 'Le Grand Métier' de Jean Recher" voir la page de mon blog :
    http://albatros.eklablog.com/le-grand-metier-a884737




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  • maigret

    Le commisaire Maigret de la 1ère brigade mobile, leva la tête, eut l'impression que le ronflement du poêle de fonte planté au milieu de son bureau et relié au plafond par un gros tuyau noir faiblissait.
    Il repoussa le télégramme, se leva pesamment, régla la clef et jeta trois pelletées de charbon dans le foyer.
    Après quoi, debout, le dos au feu, il bourra une pipe, tirailla son faux col, qui, quoique très bas, le gênait.
    Il regarda sa montre, qui marquait quatre heures.
    Son veston pendait à un crochet planté derrière la porte.
    Il évolua lentement vers son bureau, relut le télégramme et traduisait à mi-voix :
    Commission internationale de police criminelle à sûreté générale, Paris : Police cracovie signale passage et départ pour Brême de Pietr-le-Letton.
    (Note de l'Auteur)

    Mon commentaire :

    Quelques passages de l'enquête à Fécamp......


    Le Livre
    Petr-le-Letton
    Maigret
    Georges Simenon
    Editions Presses Pocket
    183 pages
    1er trimestre 1977

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  • conque

    Ce coquillage, appelé conque, était utilisé autrefois par les marins lorsqu'ils pêchaient sur les Grands bancs.
    Elle était percée à un orifice pour permettre de souffler et d'emettre un son qui portait très loin. (un peu comme une corne de brume)
    Les hommes pêchaient dans une embarcation appelée "Un Doris". Ils s'éloignaient du voilier pour pêcher.
    Lorsqu'ils étaient pris dans le brouillard ils ne pouvaient pas retouver le navire
    Alors ils soufflaient dans la  conque  et attendaient la réponse des marins rester sur le voilier.
    Hélas, de nombreux marins ne retouvèrent jamais leurs navires et périrent en mer dans le froid intense et le manque de nourriture.



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  • Guy de Maupassant

    Il y a de grands livres consacrés à la navigation de plaisance.
    Sur l'eau (1888) relate une croisère de Maupassant en Mediterannée, à bord de son yacht Bel-Ami.
    Ce n'est pas seulement un récit de voyage, une description des paysages saisis dans leur authenticité de jadis, une peinture de la vie maritime, mais aussi une confession.
    Maupassant nous parle de la vie littéraire, de ses tourments intimes, de la sciété, des femmes, de la politique, autant que de la mer et du vent.
    "En somme, j'ai vu de l'eau, du soleil, des nuages et des roches - je ne puis raconter autre chose - et j'ai pensé simplement, comme on pense quand le flot vous berce, vous engourdit et vous promène."

    (Note de l'auteur)

    Mon commentaire :
    en attente de lecture

    Le Livre :
    Sur l'Eau
    Guy de Maupassant
    Editions Gallimard
    Folio Classique
    205 pages
    Avril 2004

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